Achim Dobermann, directeur général adjoint pour la recherche à l'Institut international de recherche sur le riz (IRRI; http://irri.org), et Leigh Vial, responsable de la station expérimentale IRRI, commencent IRRI Agronomy Challenge II. C'est la suite d'un projet spécial dans lequel ils démontrent comment faire pousser une culture de riz productive dans un domaine de 25 x 100 mètres sur la ferme de recherche de l'IRRI.
Dans cette tranche, Leigh se concentre sur le potentiel de rendement, les populations végétales, et les différents aspects de ce qui sera finalement ce que le riz produit un agriculteur obtiendra. Il commence la discussion dans un trou ou un espace vide sur le terrain causé par des rats. Plus tard, se joindre à la discussion est le Dr Benoit Clerget, physiologiste des cultures, appuyé par l'IRRI auprès du Cirad.
Commentaire de Leigh:
Parmi le nombre de plantes, le nombre de tilleul et la taille de la panicule (tête), le riz peut générer des céréales de plusieurs façons. Avec une faible population végétale, il peut être très important pour produire le nombre de panicules requis. S'il ne parvient pas à produire suffisamment de panicles, les panicules peuvent être grandes pour obtenir toujours le nombre de grains requis. Le résultat? Demandez à 10 physiologistes ou éleveurs de plantes différentes d'équilibrer ces composants pour obtenir le meilleur rendement et vous obtiendrez 11 réponses différentes! L'opinion humaine à part, cette flexibilité offre un excellent moyen de surmonter l'adversité. Toute affliction, à condition de prendre un péage modéré uniformément sur le terrain et le soleil brille, peut être compensée par des modèles de croissance et de développement ultérieurs. C'est pourquoi quelques larves, quelques escargots, un large espacement des rangs ou même des foreurs de la tige n'influent pas nécessairement sur le rendement, même si la récolte semble laide à l'époque.
La seule fois où ce processus se décompose, c'est lorsque les afflictions persistent ou se combinent souvent pour arrêter la compensation. Des attaques majeures d'escargots, des blessures intenses à travers une épidémie de planthopper marron majeur, ou surtout des rats peuvent provoquer un écart irrécupérable dans la culture ou garder un espace ouvert. C'est particulièrement le cas si le soleil ne brille pas si le riz mûrit rapidement. Nous avons le même problème avec les canards dans le sud de l'Australie. L'intensité ou la persistance de la maladie peut surmonter la capacité du riz à compenser.
La récolte arrive à cette étape agréable, lorsque les panicles commencent à descendre sous le poids de leur grain. Enfin, la récupération commence à apparaître. L'inconvénient est que, à ce stade, ce que nous appelons le potentiel de rendement est défini. Nous ne recevrons plus de céréales sur le terrain avec tout ce que nous faisons maintenant ... il suffit de les remplir. L'année dernière, j'ai remarqué un certain nombre de grains vides sur le terrain, pas remplis probablement parce que les plantes n'avaient pas assez de glucides (carburant glané du soleil) pour les remplir. J'espère que nous compléterons plus cette année.
En fin de compte, une plante ne peut remplir que les grains si elle balance suffisamment de surface foliaire pour attraper la lumière du soleil pour faire du carburant, pas de sorcellerie ici, j'ai peur! C'est pourquoi de nombreux éleveurs aiment une grande et large feuille de drapeau qui continue de récolter le soleil jusqu'à la fin, et c'est pourquoi Achim était contrarié quand il a vu que de nombreuses plantes n'avaient pas complètement ombragé la zone autour d'elles.
Il ne reste rien à faire maintenant, mais attendez jusqu'à ce que la récolte soit proche et choisissez le moment de vidanger le champ.
International Rice Research Institute
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[EN] 14. IRRI Agronomie Défi 2: Commencer à nouveau et ce que nous ferons différemment
11 années, 8 mois ago
05:59
